lundi 14 juin 2010

Hortobágy



l'Hortobágy. De Paris, cette steppe nourrissait mes rêves. Balayée de vent, d'un calme imposant que perturbe à peine les cavalcades des troupeaux de chevaux, elle abrite tout l'imaginaire populaire hongrois. Il y a encore un siècle les bergers y surveillaient des cheptels de milliers de tête et les légendaires betyars hongrois y cavalaient sans fin.
Aujourd'hui, La plaine est au fond de mon regard. J'ai aspiré goulûment ce paysage ras et rude. Ne pas en perdre une miette pour pouvoir plus tard s'y replonger à volonté.

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